Pour Ne Pas Oublier l'INLUCC Pour Encadrer La Lutte Anti-Corruption

La rêverie de la semaine est on ne peut plus simple et triviale. Soufflée en 2015, elle s'attend encore à être concrétisée, au gré des humeurs de nos gouverneurs indécis et troublés.

Il s'agit simplement de mettre en place l’Instance de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, la quelle doi être dotée des moyens administratifs et financiers adéquats pour détecter les cas de corruption dans le secteur public et privé, enquêter sur ces cas et de les soumettre aux autorités compétentes, comme le stipule l'article 130 de la Constitution de 2014, dont voici l'énoncé solonnel. 

Hélas, force est de constater que toutes les instances indépendantes font face à un avenir incertain, au vu de leur chantier perpétuel (schéma). 

Ce rappel a été lancé par la commission d'experts "Etat et Instititions" présidée par Ridha Ben Hammed et composée de : Mongi Ben Raies, Sabria Sekhiri Zarrouk et Mustapha Ben Letaief, dans le cadre de l'étude "Tunisie 2025", rapportée Hafedh Bouktif et Mondher Khaled, encadrée par Kais Hammami et Mehdi Taje, prospectivistes, sous la direction de Hatem Ben Salem, ex directeur général de l'ITES.